Simple, charmante, facile et attachante, le tout pour un prix complètement d’Inde ; c’est la nouvelle Royal Enfield 650 Interceptor, testée et approuvée par votre serviteur…
Rendez-vous était pris chez Motoland, à Seclin, au milieu de ce qui est devenu avec les années le plus grand « village moto » d’Europe. Objectif de cette visite : prendre possession deux heures durant de la nouvelle Royal Enfield 650 Interceptor, le temps de faire un petit tour et de prendre quelques photos. J’attendais ce modèle avec impatience ! Voir ressurgir un twin en hommage à la machine éponyme des années 60, qu’ils ont écoulé en assez grand nombre à l’époque, particulièrement en Californie… C’est en effet une chose que j’avais osé espérer, bien avant, même, que la marque se mette à en parler.
Il faut dire que l’objet du buzz précédent m’avait laissé sur ma faim. C’est bien sûr à la Continental GT mono que je fais allusion. Même gonflé, porté à 535 cm3, le moulin d’alors ne délivrait que 29 petits chevaux ; pas de quoi être tout à fait rassasié… Et son look me paraissait presque anachronique, dans ce qui s’apparentait finalement à un cafe-racer contemporain. A mon sens la ligne générale, portée par un cadre joliment dessiné et parait-il efficace, était une franche réussite. Mais selon moi l’ensemble, vu de près et dans le détail, donnait à observer un assemblage pas franchement abouti, un mélange pas forcément heureux de traitements de surface variés et de périphériques bon marché. Bref, une moto à l’utilisation trop limitée, bien que pas donnée ; belle de loin, mais perfectible en réalité ; en dessous de mes attentes en tout cas.
C’est donc avec une curiosité mêlée d’appréhension que je suis allé découvrir le nouveau bicylindre proposé. Et cette fois, pas de déception à l’arrivée ! J’ai trouvé cette machine vraiment homogène et plutôt agréable à regarder. Avec le soleil du jour, les chromes et la peinture metal flake brillaient même de milles feux ; attention les yeux ! Certes, on est pas dans le haut de gamme, il subsiste des accessoires en plastique un peu cheapouille, les meilleurs équipements n’ont pas été convoqués, l’arrière-plan des compteurs (analogiques au moins) n’est pas foufou… Mais il faut aussi se rappeler le prix plancher de cette bécane, et d’emblée on a le sentiment d’être face à une offre très honnête.
En premier lieu, je me suis attardé sur ce moteur inédit au design soigné. Et l’enthousiasme suscité par les photos s’est bien confirmé dans la réalité : esthétiquement on tend vers la perfection ! Il s’agit d’un twin parallèle assez compact, refroidi par air et par huile. Il affiche donc de belles ailettes et son radiateur n’a rien d’encombrant. Et puis, avec ses cylindres peints en noir mat façon vieille fonte, ses carters et son couvre-culasse en alu poli, le nom de la marque gravé d’un coté, un bouchon estampillé de l’autre… Rien à dire, il est vraiment très beau.
Evidemment, l’absence de carbus trahit la modernité, et les pots homologués sont un peu imposants. Mais ces éléments (injecteurs et échappements) restent élégants, et grâce à eux cette mécanique est déjà conforme à la norme Euro 4 (demain Euro 5 sans grands changements). Calé à 270° pour plus de caractère, supercarré et 4 soupapes pour des montées en régime plus franches, pourvu de balanciers d’équilibrage pour limiter les vibrations… Ce bloc fournit 52 Nm à 5250 tr/min, et 47 ch à 7250 tr/min. Des chiffres trop modestes ? Nous allons en reparler.
Autour, on retrouve un châssis double berceau parfaitement semblable à celui du cafe-racer mono que j’évoquais plus haut. La ligne générale est on ne peut plus traditionnelle, on reconnaît là la signature de Harris Performance. Cette entreprise, fondée en 1972 et qui s’est forgée avec le temps un palmarès éloquent, était autrefois familiale. Elle est désormais la propriété de Royal Enfield (depuis 2015). Coté suspensions, on reste dans le très classique, avec à l’avant une simple fourche télescopique de 41 mm, et à l’arrière des amortisseurs uniquement réglables en précharge.
D’un diamètre de 18 pouces, les jantes à rayons sont vintage comme on aime ; les pneus un peu moins. Ces Pirelli Phantom Sportscomp ont décidément la côte en ce moment. Mais si leur dessin n’est pas vilain, il n’est pas non plus particulièrement rétro. Ils remplissent au moins la première fonction d’un boudin : tenir le pavé. Ici ils sont aussi assez fins : 130 à l’arrière, et 100 à l’avant. Finalement, des roues un peu hautes et un peu étroites, à l’ancienne ? Voilà qui suggère de la stabilité en ligne droite, et une certaine agilité lors de la mise sur l’angle ; choses que le test démontrera.
Sans surprise puisque c’est désormais obligatoire : l’ABS est de série. C’est Bosch qui a, et tant mieux, été sollicité dans ce registre (comme pour l’injection et l’allumage). Reliés à des durites aviation, les étriers (simple piston à l’arrière et double à l’avant), eux sont estampillés Bybre. Vous aviez cru voir des Brembo ? Moi aussi. Il faut dire qu’il y a bien un lien de parenté entre les deux, s’agissant d’une filiale de la firme italienne. Question : une fois bien lancé, l’ensemble est-il suffisant pour stopper les quelques 200 kg à sec de la bête ? Confirmation plus bas…
Assez jacassé à l’arrêt ! Je suis venu pour un essai, ou pas ? Au moment de l’enjamber, la Royal Enfield 650 Interceptor se révèle un poil haute (804 mm). Sa garde au sol parait plus que satisfaisante. Mais par bonheur sa selle n’est pas trop large, et la position de conduite plutôt naturelle avec le guidon haut et les commandes médianes. On trouve vite ses marques. Dès le démarrage le bicylindre séduit par son doux ronflement. S’agissant d’une sonorité d’origine, c’est très correct et à la longue pas fatigant. Allez, première en bas, et c’est parti.
En route, on profite d’un vrai agrément ! Ce n’est pas le poumon que l’on aurait pu craindre sur le papier. Les ingénieurs ont fait exactement ce qu’il fallait : rendre le gros du couple obtenu disponible immédiatement. Les 3/4 de la valeur max sont délivrés dès 2000 tr/min, et ça change tout ! Les francs coups de gaz aux alentours de 3000 offrent même un (petit) coup de pied au cul, vers 5500 on peut cruiser à 130 km/h sur le dernier rapport… Et à ce stade, il nous en reste encore suffisamment sous le coude pour doubler sans stresser.
L’autobeurk est donc envisageable, au guidon de cette moyenne cylindrée. Mais bien sûr, du fait de la prise au vent notamment, ce n’est pas là qu’on pourra le mieux l’apprécier. La boite six vitesses est efficace, agréable à vivre, pour autant on ira pas la sur-solliciter. Avec un moteur souple qui tolère de reprendre aussi bas, on peut se concentrer sur le paysage ou sur ses trajectoires, au choix ! Alors on redécouvre le plaisir simple de la moto, sans prise de tête. Même quand il s’agit de négocier un bête demi-tour, le rayon de braquage livré est un allié.
Rien à redire concernant le comportement routier. Evidemment ce n’est pas un modèle de rigueur ou d’agressivité, mais une bécane homogène et équilibrée en laquelle on prend vite et naturellement confiance. Sur route défoncée le confort se dégrade notablement. Ailleurs les suspensions jouent bien leur rôle, les pneumatiques également, et la tenue de route n’invite pas à la critique. Le freinage non plus, très bien réglé et parfaitement dimensionné. Tant mieux, car en revanche le frein moteur a fait son deuil de la virilité ! La faute à l’embrayage à glissement limité ? Certainement, maudit anti-dribble…
Retour au point de départ, une dernière petite inspection avant de rendre les clés… Je réalise que l’éclairage est traditionnel, exit les feux à LED. Le bouchon à clé style Monza et les insignes vintage embellissent le réservoir de 12 L, lequel promet une autonomie respectable. Je note également la présence d’une béquille centrale, et d’une poignée dédiée à gauche pour faciliter la manœuvre. Vous roulez peu ou pas sous la pluie ? Alors vous serez peut-être tentés de démonter leurs prolongateurs pour raccourcir les garde-boue.
Quelle conclusion tirer de tout cela ?
Assurément, cette Royal Enfield 650 Interceptor est la bonne surprise de l’année, dans la sphère néo-rétro. Pour la marque, plus que centenaire, cette machine inscrit un renouveau certain, sans trahir son esprit et en capitalisant au contraire sur son héritage. Esthétiquement c’est une vraie réussite ! Le style est intemporel, l’ensemble très équilibré, la finition en progrès. Sa simplicité fait tout le charme de cette moto particulièrement facile à emmener. Ici pas de fioritures, juste quelques concessions à la modernité, normes obligent ; mais on reste dans le très classique.
En s’attardant sur les détails, on peut tout de même relever quelques défauts : les fausses coutures de la selle, quelques périphériques en plastoc, une peinture perfectible du support de feu sur mon exemplaire d’essai… Mais encore une fois, il faut rappeler que le prix de cette bécane est nettement inférieur à ceux de la concurrence ! 6500,00 EUR pour la version testée, et tout juste 200 balles de plus pour le modèle café-racer équipé, notamment, de bracelets et de commandes reculées. C’est à peine plus cher que la précédente Continental GT, alors que cette mouture 2019 est clairement plus valorisante et nettement plus polyvalente ! On est donc en présence d’une très bonne affaire.
L’atout majeur de cette nouveauté, c’est indéniablement sa mécanique inédite. Celle-ci offre en effet un agrément qu’on osait pas espérer. « Do the ton ! », qu’y disaient ; on y est. Sans forcer jusqu’à 150 km/h, au taquet à plus ou moins 170, mais avec des reprises tout à fait honorables du fait d’un couple correct et surtout suffisamment bas placé. N’espérez toutefois pas rattraper les gros quatre pattes de vos potes, ça sera compliqué… D’un point de vue stratégique, on relèvera l’intérêt de la compatibilité avec la licence A2. Pour autant ce « petit » twin n’a rien d’ennuyeux, au contraire, il permet de prendre son pied sans craindre d’affoler les radars et de voir son permis réduit en confettis.
Pas mal de coloris sont proposés : six pour la version standard, cinq pour la déclinaison cafe-racer. Mais c’est peut-être la dispo qui décidera pour vous, vus les délais annoncés… Car apparemment cette Royal Enfield 650 Interceptor est déjà victime de son succès ! Il subsiste pourtant deux questions en suspens : quid de la fiabilité ? Et quid du SAV ? La rumeur court qu’un grand nombre d’exemplaires aurait été soumis à des tests de longue durée, dans des conditions variées, avec à l’arrivée plus d’un millier de points de contrôle statiques et dynamiques vérifiés. Résultat : le constructeur n’hésite pas à garantir ses machines trois ans !
Edit du 06 octobre 2020 :
L’eau ayant coulé sur la chaussée, je me suis dit que le moment était venu d’interroger la communauté… Verdict ci-dessous !
Si l’importateur et le réseau se montrent à la hauteur, si les concessions commencent à la mettre en valeur à travers de beaux corners dédiés, et si cette bécane parvient à faire ses preuves dans le temps… La concurrence a beau proposer des motos un peu plus haut de gamme et un peu plus puissantes, elle risque de souffrir de la présence de cette nouvelle Indienne qui offre déjà beaucoup pour un tarif au ras des pâquerettes. Reste une image et une réputation à construire, donc, mais les éléments semblent réunis pour y parvenir. A suivre !
Beau compte-rendu !
J’ai eu le plaisir de l’essayer aussi…
Et effectivement, pour le prix demandé cette moto tient bien ses engagements.
Vraiment bien joué de la part de cette marque.
Je souhaite de tout cœur que ça marche pour eux, car voilà du vrai de vrai rétro réussi.
Pas comme l’horrible Kawa Z900RS, ratée (esthétiquement parlant).
Là c’est du beau vintage.
Les pots je ne les trouve pas trop gros, mais 10 cm plus court ça aurait été impecc’.
Ils s’en sont bien tirés, malgré les normes actuelles…
Je les trouve par contre un chouille trop relevés.
Les bonbonnes d’amortos sont moches également.
Le radiateur est pas trop monstrueux, lui, ça passe.
Le carter droit est trop bedonnant, dommage.
Les commodos en plastoc noir, bof-bof…
Mais pour le prix, faut pas rêver !
Globalement pas aussi belle qu’une Bonneville moderne, mais pas comparable en cylindrée ou tarif.
Alors ça semble sympa quand même.
Super prix, et la garantie trois ans en plus, ça rassure !
Motard depuis 10 ans, j’ai possédé d’autres motos dont certaines beaucoup plus puissantes.
Depuis quelques temps je cherchais une bécane avec laquelle on prend du plaisir sans rouler comme un porc.
J’ai essayé une 650 Interceptor il y a quelques temps, et j’ai signé le bon de commande dès mon retour à la concession !
Cette machine offre un véritable plaisir de conduite, le bruit est top même d’origine, c’est rare.
C’est un vrai bonheur même aux vitesses légales, et le style « so vintage », j’adore !
Franchement, à ce prix-là, il n’y a pas à hésiter pour ceux qui cherchent une « mid size » à un tarif très contenu et au look rétro super réussi.
Les gros plus : le twin super agréable, et un châssis très bon qui met vite en confiance.
Allez l’essayer et vous serez conquis !
;)
C’est vrai que ce compte-rendu donne envie d’essayer cette machine.
Dis, ça te dirait de venir en parler dans l’émission Kiqincoup Tetoupal, sur Radio Campus ?
Pourquoi pas, Luck, à voir en fonction de nos dispos…
;)
Bonjour,
Propriétaire de la belle, je confirme ce qui a été dit.
J’ajouterais : une sonorité des plus plaisantes même avec les pots d’origine !
Et surtout une très bonne base de préparation.
Rien à dire, à part le réservoir de 12 litres (le mini c’est 15) et les amortisseurs à bonbonnes.
Le réservoir de la 650 Interceptor contient 13,7 litres et non pas 12.
Oui, apparemment 12,5 L pour la GT, et 13,7 L pour l’Interceptor ici présente…
Bon, un litre en plus ou en moins, c’est jamais que 20-25 bornes de différence en terme d’autonomie.
;)
13,7 L de bonbonne, c’est pas terrible…
L’injection nous a toujours promis des consommations extra basses, mais en réalité, faire 4 L aux 100 avec une 650 cm3 de 200 kg (+ le poids du capitaine !), ça relève du vœu pieux.
Je parierais plutôt sur une conso de 5 L, soit une autonomie de 200 km.
Car qui est assez bête, venant de passer en réserve, pour ne pas viser la toute prochaine station service ?
Alors avec les 3,7 L restants, mettons que l’on puisse encore parcourir 70 km…
C’est l’hiver, je suis dans les Hautes-Alpes, la nuit est tombée depuis 17h30, et au fur et à mesure que les minutes passent, les kilomètres défilent, tandis que les points de ravitaillement se font rares.
Première station en vue : fermée avec son ruban rouge et blanc interdisant l’accès aux pistes .
Et maintenant, voilà qu’il tombe un petit crachin de glace.
Enfin une station ouverte !
Je calcule : il me restait 18 km d’autonomie ; sans commentaire…
Un bidon de 16-17 L me semble un minimum.
Que ceux qui ne sont jamais tombés en panne de carburant lèvent le doigt !
Propriétaire d’une Interceptor, je mets 13,00 EUR pour 250 km.
Donc les mauvaises langues… LOL !
Bécane au top.
Et je descends d’une 1000 GSX-R… Héhé !
De quatre à cinq litres au cent ; je lui reproche la dureté de sa selle, mais sinon cette moto est top !
Même avec un réservoir de 25 litres, les mêmes diront toujours que quand tu passes en réserve il ne te reste plus beaucoup d’autonomie…
Mais pourquoi attendre d’être bêtement à sec !?
Une grosse bagnole diesel, malgré son réservoir de 90 litres, ne permet pas non plus de parcourir plus de 50 bornes une fois le voyant allumé.
Sortant successivement de deux Indian (Chief et Scout), et ayant maintenant un peu d’âge (84 ans), j’aimerais trouver une moto moins lourde et plus maniable ; j’ai eu aussi une HD 883 R, mais celle-là faisait aussi son poids…
Aussi je vais essayer ces jours-ci la Royal Enfield 650, histoire de tâter le terrain.
D’après ce que je viens de lire, tout parait ok !
J’en reparlerai sûrement très bientôt.
Mes respects, Jean.
Je viens justement d’acheter la bécane d’un monsieur qui a décidé de jeter l’éponge.
Par délicatesse je n’ai pas demandé son âge, mais je doute qu’il ait passé les 80.
J’espère, arrivé là, être encore capable comme toi ; l’avenir nous le dira…
Quoi qu’il en soit, puisse cette Indienne te convenir et t’offrir encore de belles balades !
Tiens-nous au jus, ça ferait plaisir de savoir que tu as trouvé ton bonheur.
;)
Finalement ce n’est pas une, mais deux Royal Enfield que j’ai testées vendredi à la concess’ de Coligny (01) : la 500 Classic et la 650 Interceptor.
De ces essais s’est dégagée une sensation de plaisir comparable à l’écoute de la grande musique : petite mélodie de nuit pour le mono, et cinquième symphonie de Beethoven pour le twin…
J’en ressors ravi, enchanté !
J’envisageais tout d’abord la Classic, car plus sage, théoriquement plus adaptée à mon âge…
Mais après avoir chevauché l’Interceptor, je voyais les choses autrement !
Du bonheur à tous les régimes, sans trous, un enroulement parfait des virages, un freinage à la hauteur, une tenue de route irréprochable…
Vraiment top, cette 650 ; la 500 attendra encore deux ou trois ans.
De retour chez Raffin Motos (très bonne réputation), qui m’a aimablement confié ces machines deux heures chacune, ma décision était prise : j’ai sur le champ signé pour une Interceptor 2020 neuve.
Bien sûr, la position est un peu haute, et le confort de la selle différent de mes précédentes Indian, mais comme je suis assez grand (1,83 m), cela ne m’a pas inquiété.
Juste une remarque concernant le sélecteur des vitesses, côté gauche : le patin de commande n’est pas assez avancé pour y placer une botte de motard, un levier plus long serait le bienvenu.
De même, le repose-pied de ce côté est trop proche de l’ergot de la béquille latérale, de ce fait malcommode à déplier.
Des détails…
J’aurai cette nouvelle moto dès mercredi, alors que du très beau temps est annoncé ; merveilleux !
Je compte bien en profiter de suite.
Ensuite je me mettrai à la recherche d’une bonne selle plus moelleuse, si possible, et aussi d’un guidon plus haut, genre custom…
Si vous avez des infos à ce sujet, je suis preneur !
Merci, Susokary, pour ton commentaire me concernant.
Ca réchauffe et me pousse à cruiser encore un moment.
Bonne route à tous.
Super, Jean !
Ton enthousiasme est communicatif, et je suis très content pour toi.
Je te souhaite beaucoup de plaisir au guidon de cette belle machine.
✌️ ;)
Bonjour à vous tous,
Comme d’autres je cherchais une moto simple et authentique.
Certes celle-ci a bien quelques défauts, mais surtout de très bonnes qualités !
Douce, chantante, elle aime se coucher dans les courbes, un vrai vélo…
J’ai connu moi aussi des bécanes plus puissantes.
Mais au guidon de cette nouvelle Royal Enfield, le plaisir est constant et facile.
Je ne regrette pas d’en posséder une…
Et je comprends que Jean soit tombé sous son charme !
✌️
Bon, ça y est, je vais chercher ma 650 Interceptor le 30 juillet prochain.
Mais j’ai un souci :
Je dois partir le lendemain pour un petit voyage de 440 kilomètres ; soit 900 bornes aller-retour.
Quid de la première révision ?
Certaines concessions annoncent 1000 km, d’autres 500 !
Angoisse…
Pouvez-vous me dire ?
Bien sûr je ferais cette virée en respectant les préconisations pour un bon rodage.
Merci d’avance pour vos éclairages !
500 bornes seulement avant la première révision ?
Vu les normes actuelles, et par expérience, je pencherais plutôt pour 1000 !
Mais je ne suis pas concessionnaire Royal Enfield…
;)
Bonjour à tous,
Claude, 70 balais, et une Interceptor depuis un mois.
Après 50 ans de sportives, de gros roadsters et de grosses GT, cette moto est ce qu’il me fallait.
Très sympa si on reste raisonnable.
Coté conso, mon dernier plein m’a donné 3,48 L au 100.
Pour moi le seul bémol est la selle.
Avant je m’adressais à Yves Moillo ; connaissez-vous d’autres selliers en Touraine ?
A bientôt.
Salut Claude,
J’ai l’impression de ton sellier habituel exerce toujours.
Sinon, des suggestions devraient apparaître ici :
https://www.facebook.com/groups/updlt.indreetloire/permalink/631526294160442/
Bonne route au guidon de ta RE !
;)
Bonjour à tous !
Trois semaines plus tard, mon compteur affiche maintenant 2600 bornes.
Et je compte participer à trois rassos d’ici mi-octobre, ce qui devrait amener mon totaliseur à 5000 kilomètres.
J’ai déjà fait installer :
Le tout m’ayant aussi coûté 30,00 EUR de main-d’œuvre.
Cette moto est géniale ; mon seul problème : la selle !
Passé 01H30 de route j’ai le sentiment qu’elle s’écrase, et cela devient très pénible.
Il faut dire que je parcoure jusqu’à 400 km par jour, et que j’approche des 70 ans…
Aussi, prochain investissement ?
Une selle Bultex, reprenant la même forme et le même revêtement.
Merci pour ce partage d’expérience, José ; je vois que tu roules encore pas mal, respect !
Bonne route à toi, en espérant que ce désagrément concernant la selle soit rapidement réglé.
✌️ ;)
Bonjour,
Je viens de commander une Interceptor « Ravishing Red ».
Avez-vous eu des soucis électriques, au niveau du neiman ou du relais situé sous le cache côté gauche ?
Lu plusieurs posts à ce sujet sur des forums…
Merci.
Bonjour,
Je recherche comment déposer la selle de ma Royal Enfield 650 Interceptor de 2020…
Merci pour votre aide.
A 55 ans, j’ai possédé beaucoup de motos, et depuis juillet 2019, je roule au guidon d’une 650 Interceptor achetée avec 300 km au compteur.
5000 bornes plus tard je peux dire que c’est une très bonne machine !
A part peut-être les amortisseurs arrière…
Je les ai remplacés par des Shock Factory, et cela n’a plus rien à voir, très agréables.
Je commence à chercher la remplaçante de ma Bullet Classic de 2010, qui affiche maintenant 87000 km ; et je me demandais si l’Interceptor serait la bonne opportunité…
Personnellement, autant le look de ma 500 m’a fait craquer, autant je trouve cette 650 un peu trop « moderne ».
Mais à la lecture de ces commentaires, je crois que je vais quand même faire un essai !
C’est le conseil que je donne toujours, Jean-Marc : essayez !
Je rédige mes tests aussi sérieusement que possible, mais à la fin, peu importe mon avis et mon ressenti, c’est aussi une affaire de goût et d’attentes personnelles.
Rien ne vaut l’expérience réelle ; tu nous diras…
Mais je suis déjà content de savoir que nous t’avons incité à y regarder de plus près.
;)
L’âge avançant, j’ai décidé de me séparer de ma Ducat’ ST4S !
Aussi je recherchais une moto sage, et plutôt vintage pour me rappeler ma jeunesse.
J’ai découvert cette Royal Enfield 650 Interceptor par hasard, chez Track Motor à Aytre (17).
Essai proposé, j’ai immédiatement compris que c’est le type de bécane que je voulais !
Souple, agréable et sécurisante… Je partage ce qui est écrit plus haut.
Mon Italienne reprise, le concessionnaire m’a proposé une occasion avec laquelle je me balade désormais dans les environs de La Rochelle.
Bonne route à tous !
Des machines, j’en ai eues tant et plus dans ma vie, de la DTMX 125 à la Z1300…
Après des décennies sans moto perso, à part une Transalp que j’utilise de temps en temps en ville pour le boulot, j’avais envie d’un twin à l’anglaise, et je lorgnais du côté de chez Triumph sans me décider vraiment à dépenser plus de 9000,00 EUR pour l’achat d’une Street Twin, puisque c’était pour un plaisir solitaire et peu fréquent !
Puis j’ai vu des W800 récentes à prix serré chez plusieurs concessionnaires Kawa, mais avant d’avoir le temps d’en essayer une, le concessionnaire RE, Bike Up à Nice, m’a remis les clés d’une Interceptor.
Après 100 m à son guidon j’avais l’impression de l’avoir toujours connue, et quelques kilomètres après je me demandais comment j’avais fait pour vivre sans elle !
De retour à la concession, mes fils qui m’attendaient m’ont dit : « Papa, fais toi plais’… » ; alors j’ai immédiatement signé le bon de commande.
Depuis nous vivons un amour… à trois, puisque souvent mon épouse aime à nous accompagner.
J’ai retrouvé dans les commentaires à peu près tout ce que j’ai ressenti moi-même : une allonge et une souplesse moteur insoupçonnable dans cette cylindrée, un plaisir réel et une grande sensation de sérénité.
La selle, assez grande pour le duo, est plutôt inconfortable après quelques dizaines de kilomètres, et je viens d’ailleurs de recevoir une version « touring » qui j’espère améliorera les choses, autrement j’irai faire transformer celle d’origine par un sellier.
La fourche me parait un peu dure, aussi, mais j’ai comme repaire un trail, et la sensation de flou à vitesse moyenne a été grandement améliorée par la pose d’un petit saute vent Puig à 40 balles, plutôt élégant, mais apparaît finalement toujours à environ 130nbsp;km/h, ce qui n’est vraiment pas grave.
La conso, sans chercher l’économie, est à 4-4,5 litres, mais malheureusement la jauge imprécise m’incite à ravitailler plus vite que je ne le devrais réellement.
Une petite fenêtre LCD dans le compte tours aurait été la bienvenue, pour y insérer une montre et un indicateur de rapport engagé, mais personne, ni rien n’est parfait.
Si le bruit est très agréable, il manque à mon goût de consistance et je pense me laisser tenter par un échappement aftermarket.
Mon concess’ m’a proposé du S&S, à environ 600 EUR, ou du Loneranger, à 500 EUR et quelques, tous les deux en finition alu brossé ; mais j’ai repéré sur la toile les silencieux Powerage qui me plairaient assez en version chromée si je les trouve sur un site européen reconnu ou mieux chez Bike Up… s’il ne marge pas trop.
Des tas de petits accessoires achetés chez lui ou ailleurs viendront sans doute encore agrémenter ma belle.
Voilà, vous l’aurez compris, je suis plus que satisfait de mon achat.
Et je recommande vivement son essai !
P.S.:
Le premier entretien conseillé par la marque est bien à 500 km, mais mon concessionnaire m’a laissé un peu de marge sans aucun problème et je l’ai fait à 800 km.
Merci à tous pour vos commentaires.
Voilà qui confirme largement mon ressenti, très positif.
Et votre satisfaction est pour le moins communicative.
V, comme on dit.
;)
Heureusement que j’ai pu trouver comment déposer la selle de mon Interceptor, car voilà plus de 5-6 jours que la question a été posée… Mais sans recevoir aucune réponse ; bravo !
Mouarf !
On gère pas le SAV de la marque, ici.
Si encore j’en avais une moi-même pour regarder…
:D
Réponse à Berger :
Pardon, mais je crois que nous avons tous pensé que depuis tu avais eu l’idée de consulter ton manuel d’entretien ou de téléphoner à ton concessionnaire, qui aurait d’ailleurs du t’indiquer la procédure.
Content que tu ais trouvé.
Amitié.
Susokary,
Je trouve cette discussion très intéressante.
J’ai 67 ans, et une tuile malheureusement : un cancer.
Merde !
Alors je ne fais que rêver d’une Royal Enfield, et cette 650, là, m’éclate à l’avance.
Ne vous inquiétez pas, j’ai un moral d’enfer et je compte bien m’en sortir.
Vous savez à quoi votre rubrique me fait penser ?
A la Motobécane 175 de 1953, celle de mon père…
Je l’avais retapée dans les années 70 ; quel pied sur les petites routes de la Nièvre !
Vous me faites voyager, les amis motards, vous êtes super positifs.
Bravo Susokary ; et que mon rêve et les vôtres à tous deviennent réalité !
Force à toi dans cette épreuve, Didier.
Puisse ta bienveillance te valoir de vaincre rapidement cette saloperie de crabe.
Je serais ravi de recevoir, dans quelques temps, un autoportrait (un selfie comme on dit maintenant) de ta part au guidon d’une Interceptor !
;)
Merci Susokary ; okay pour l’autoportrait !
Belle moto, cette Royal Enfield, et d’un prix très correct !
Idéale selon moi, motard depuis 1969, comme seconde bécane pour rouler cool…
Voilà quelques mois j’ai remplacé ma 900 Tracer (qui commençait à cumuler les kilomètres) par une V-Strom 1050 XT ; mais depuis une quinzaine d’années je possède également une Kawasaki W650 (dans le style de cette Interceptor), et celle-là je ne la vendrai jamais !
Je voudrais dire, en réaction au commentaire d’Olivier qui critique la Z900RS :
J’ai eu en 1973 une 900 Z1, c’était une super machine, et sa réplique actuelle est aussi très belle ; pour l’avoir essayée elle roule parfaitement bien, mais n’a rien à voir avec la Royal Enfield.
Bonne route à tous, et particulièrement à Jean !
Auriez-vous un retour d’expérience de cette moto attelée au side Watsonian ?
Petit retour personnel, après un peu plus de 2000 km au guidon de la Continental GT 650…
J’ai pris possession de cette moto en mars 2020, une semaine avant le premier confinement, elle n’a donc vraiment roulé qu’à partir de juin.
Pour moi qui suis débutant c’est la moto parfaite, avec un style plus « adulte » que celui des roadsters japonais qui inondent le marché A2, plus en accord avec mes 37 ans.
Ce qui frappe notamment, c’est la douceur du moteur, de l’embrayage et de la boite.
Certes, ce n’est pas un avion, mais il est largement suffisant.
Sur le site industriel sur lequel je travaille, deux autres collègues se sont laissés tenter : le premier par l’Interceptor, le second par la Continental GT.
Tous deux plus expérimentés que moi, et ayant possédé l’un comme l’autre des machines bien plus grosses et performantes, ils ont été aussi charmés par la simplicité de cet engin et par le petit caractère du bicylindre.
Cette bécane fait également son effet auprès des passants, car bien que très ancienne la marque parle finalement à peu de monde, du coup l’interrogation est souvent là :
Est-ce une moto ancienne parfaitement restaurée, ou pas ?
Pourtant quand on s’y connait un peu, rien que les freins à disque mettent sur la voie, alors en détaillant de plus près…
A propos du réseau, mon concessionnaire est un multi-enseignes qui fait Kawa, Yam, Suz, Piaggio, et les marques de la Sima, donc j’ai confiance en lui.
Le petit kit de bienvenue constitué de quelques goodies Royal Enfield fait toujours plaisir (mug, tour de cou, porte-clé en cuir…), et la garantie 3 ans assistance 0 km (couvrant même les crevaisons ou l’erreur de carburant !) achève de mettre en confiance.
Sachant que lors de mon essai chez Tendance Roadster, le patron m’avait dit que de tous les importateurs Royal Enfield avec lesquels il avait pu bosser en 10 ans, la Sima était celui qui lui semblait le plus motivé (le fait d’avoir un gros renouvellement de gamme prévu sur plusieurs années aide peut-être aussi les choses…).
Ma machine a fait partie de la campagne de rappel concernant les freins, qui a touché les 650 et Himalayan :
Courrier reçu en recommandé, rdv calé 15 jours après, ma bécane n’était pas touchée par le phénomène de corrosion constaté sur quelques pistons de freins, j’ai donc eu droit à une vidange gratuite du circuit et au remplacement des joints d’étrier.
En espérant avoir une année 2021 plus favorable à la pratique de la moto (les deux confinements de 2020 ayant quand même un peu limité nos possibilités de rouler…), je suis pour le moment très satisfait de cet achat.
Bonjour à tous les amoureux de la moto que je compte bien rejoindre très rapidement !
J’étais parti pour me prendre une CB 550 Four des années 70, mais manque de pot pour moi, ce n’est pas compatible avec le A2…
A deux-trois malheureux chevaux près, je suis forcé de revoir mon choix.
Déjà fan de Royal Enfield depuis quelques années, je vais m’activer pour obtenir mon permis au plus vite, et alors essayer cette bien belle machine en vue d’un possible achat.
Mon interrogation est la suivante :
Je mesure 1,65 m, et j’ai donc peur d’être un peu juste par rapport au 804 mm de hauteur de selle…
Dois-je à nouveau changer mon fusil d’épaule !?
Merci de m’avoir lu, et merci d’avance pour vos réponses.
Frédéric, de Six-Fours-les-Plages.
Salut Frédéric,
A défaut de pouvoir rouler avec dans l’immédiat, tu peux toujours demander l’autorisation à ton concessionnaire de l’enfourcher.
Perso je ne suis pas très grand non plus, à peine 1,70 m, et je n’ai pas souvenir d’avoir été gêné.
Quoi qu’il en soit, moyennant un petit budget supplémentaire, tu peux toujours envisager la pose d’amortos courts et de cales dans la fourche… De quoi gagner quelques précieux centimètres !
;)
Bonjour à vous, et merci pour cette réponse !
Je vais suivre votre conseil, et comme vous dîtes : « en enfourcher une », lol.
C’est une belle bécane, et si je dois la rabaisser je le ferai volontiers, pour pouvoir arpenter avec les routes du Var et d’ailleurs…
Je vous souhaite de très belles fêtes de fin d’année.
Au plaisir de vous lire.
Frédéric
Bientôt titulaire du A2, à 54 ans (et oui !), je recherchais une bonne monture pour débuter.
Et puis j’ai vu cette moto, et j’avoue être tombé sous le charme : look, historique…
Sans parler de vos commentaires qui m’ont conforté dans mon choix.
Demain je passe l’épreuve route, et ensuite, je la commande !
Bonjour à tous,
Débutant également (je pense boucler ma formation dans les semaines à venir, je devais d’ailleurs passer le plateau aujourd’hui mais la neige en a décidé autrement…), j’ai déjà pré-commandé ma 650 Interceptor 2021 (Euro5 !) auprès du concessionnaire le plus proche.
Arrivée prévue au mois de mars ; je suis sur des charbons ardents !
Le revendeur auquel je me suis adressé m’a bien confirmé la première visite à 500 km.
Pour l’avoir eu récemment au téléphone, je ne suis visiblement pas le seul à lui passer commande, cette machine a du succès !
Hey hey, Laurent !
Moi aussi j’ai passé mon permis à 54 ans, en juin dernier.
Et la toute première moto de ma vie est…
Sitôt que je la sors, j’ai des commentaires de gens qui la jugent trooooop belle !
Je la trouve moi-même non seulement belle, mais aussi agréable, attachante.
Elle a tout pour elle ; ce sera la moto de ma vie.
Bonne route !
Salut à tous,
Propriétaire d’une 650 Interceptor depuis octobre 2020, j’ai fait 1000 bornes depuis.
A 57 ans, le permis en poche depuis 2008, ce n’est que ma troisième moto (après une Suzuki GN 125 puis une Suzuki TU 250).
Je voulais enfin une bécane digne de ce nom, et absolument néo-rétro.
J’ai découvert cette Royal Enfield par hasard, et suis allé chez le concess’ pour la tester.
J’ai très vite été conquis !
J’en ai trouvée une d’occase dans la foulée, vieille de seulement deux mois, avec à peine 800 km au compteur, et pour un prix canon ; depuis ce n’est que du bonheur !
En version chrome elle est sublime, le moteur est vif, mais doux et souple, la sonorité au top avec ses échappements S&S, et sa conso ne dépasse pas les 4,5 L.
Ses seuls défauts à mes yeux : un peu lourde à manier à l’arrêt (à cause de ses 217 kg tous pleins faits), et une selle un peu dure (qui se fait sentir au delà d’une heure de route).
Un conseil simple : allez l’essayer !
A 70 balais, dont 50 ans à bécanes, marre de mécaniquer de vieux brêlons…
Aussi j’avais décidé de me payer une bécane neuve, et attiré par le prix j’ai essayé l’Interceptor.
J’ai finalement pris possession de la mienne le 30 juillet 2020 ; aujourd’hui 6500 km plus tard : ce n’est que du bonheur !
A mon tour :
60 ans, première moto à 16 ans (Honda 125 MK5 modèle 76), puis diverses montures…
Je souhaitais louer une RE Classic le temps d’un week-end, mais hélas, plus de dispo.
Alors j’ai du me rabattre sur une Interceptor ; que j’ai gardée dans la foulée !
:)
Depuis je l’ai équipée : saute-vent, soufflets de fourche, porte-paquet, nouveau guidon, tank pad, et petit dispositif d’extinction du feu de croisement au démarrage.
La machine se comporte exactement comme décrit plus haut.
Les plus: look vintage, son authentique, souplesse de fonctionnement, conso modeste (3,5-4,2 L/100 km), transformable à souhait… Et bien sûr le prix.
Les moins : amortisseurs, poids à l’arrêt, absence de warning.
Elle a aussi eu droit aux contrôles des étriers avant et arrière, suite à la campagne de rappel ; mais RAS après 2000 km.
;)
Biker de 52 ans ayant craqué pour une 650 Interceptor rouge et noire, neuve, une très belle bécane au juste prix, je l’adore, je recommande !
Mes options : soufflets de fourche, porte-bagage, sabot, saute-vent…
Et je conseille les silencieux d’échappement plus petits et beaucoup plus légers que d’origine.
La moto s’en trouve plus agréable à conduire, et à manœuvrer à l’arrêt.
Bonne route à tous !
✌️😎
Bonjour à tous,
Propriétaire d’une Interceptor, quels silencieux me conseillez-vous pour gagner du poids et rester dans la norme ?
Je suis propriétaire d’une Interceptor depuis octobre 2019.
Elle totalise 15 000 bornes aujourd’hui.
Question fiabilité : R.A.S, sauf le joint de bouchon de réservoir défectueux.
Du coup bouchon remplacé, pris en charge par la garantie, et changement également du neiman puisque la clef est commune.
Tout cela a été effectué sans immobilisation de la moto.
Concernant l’assistance, testée suite à une crevaison, elle a pris en charge ma machine sans délai.
Rapatriée jusqu’à la concession à 50 km de là, elle fut réparée sur le champ et j’ai donc pu repartir avec.
Pour ce qui est du plaisir ressenti au guidon, tout a déjà été dit plus haut.
Ce twin est Royal, il m’a rajeuni de 40 ans !
Salut à tous,
Voilà, jeune motard de 50 ans, j’ai passé mon permis il y a une semaine.
Je cherchais à la base une Triumph Bonneville, mais c’est introuvable en A2.
Ou alors il faut donner un rein…
En revanche je viens de dénicher une belle Interceptor de 2019, avec 1950 km au compteur.
Je vais la voir mardi, non loin de chez moi…
Et à lire vos avis, vos éloges concernant la belle, je vais sûrement revenir avec !
Merci.
Bonjour,
Je possède une 650 Interceptor.
Cette moto me semble low cost.
Amortisseurs en bois, selle biplace idem…
C’est la Dacia du deux roues !
Côté moteur, c’est un veau, pas de reprise…
Je ne comprends pas la presse moto qui la trouve super.
Pour moi c’est une moto à 4000 EUR, et non pas 7000.
Déçu par l’Indienne !
Je respecte ton avis, Ghislain, mais la presse moto, comme tu dis, n’est pas la seule à vanter les mérites des nouvelles Royal Enfield…
Il suffit de voir les commentaires publiés ici, par des proprios tous ravis !
Certes, l’Interceptor n’est pas parfaite, nous sommes d’accord.
Mais on ne peut pas non plus lui demander d’être au niveau d’autres néo-rétros 50 % plus chères.
;)
Bien sûr, avec 48 ch, ce n’est pas un foudre de guerre !
Mais 4000 EUR c’est le prix d’une 125 neuve…
Pour avoir essayé la Triumph 900 Street Twin, c’est vrai qu’elle est bien mieux.
Mais aussi tellement plus chère !
Je fais souvent Marseille-Briançon, avec mon Interceptor.
Et franchement il n’y a pas besoin de plus.
Question confort, de toute façon passée une heure j’ai mal au cul sur n’importe quelle moto…
:D
Motard depuis juin 66, j’ai découvert ici certains articles réalistes.
D’abord des Anglaises, puis des HD, j’ai finalement gouté les Jap’ avec la TDM, et aujourd’hui la 1000 V-Strom, qui avec leurs bidons de 20 L préservent de la recherche de pompe en urgence.
Concernant cette Interceptor, je la trouve presque parfaite au regard de son prix de vente.
Toutefois, étant un vieux roule encore, il est indispensable à mes yeux qu’une moto offre une autonomie d’au moins 400 bornes ; et donc il serait intelligent de la part de M. RE d’équiper cette machine d’un gas tank de mini 18 L.
Entre les réservoirs tasses à café, les selles pour anorexiques, les sections débiles de pneus, et les micros garde-boue ; je vous souhaite à tous bonne route !
En souvenir d’aventures de passe à fond…
Salut Susokary, les « twinistes », et les autres.
Avant toute chose, je voulais vous faire part de mon étonnement par rapport au commentaire de Ghislain Boutleux.
D’abord, si cette adorable machine n’est pas parfaite, en aucun cas ses défauts sont rédhibitoires, ni insolubles pour certains.
Ensuite, effectivement cette Royal Enfield est low cost, dans tous les sens du terme : prix de vente, conso, entretien, et même coût de la personnalisation…
Mais la comparer à une Dacia est le meilleur compliment que l’on puisse lui faire, tant la marque franco-roumaine a prouvé que l’on pouvait faire de l’excellent au prix le plus juste.
Et il n’y a qu’à voir les résultats mérités des ventes de Sandero et autre Duster, en France et en Europe, pour en être convaincu, tout comme ceux d’ailleurs des Interceptor et des Continental GT.
Je pense sincèrement que cet avis n’est pas celui d’un propriétaire de RE 650, mais plutôt d’un troll ; et si ce n’est pas le cas, je trouve idiot de l’acheter sans l’essayer, étant donné que les concessionnaires de la marque la prêtent plutôt facilement.
Bref, on ne parle pas de cette manière de sa machine, et encore moins de celle-ci.
Pour répondre à Meynet, sache que cela fait des mois que je me pose la même question que toi !
Powerage, Lone Ranger, ou d’autres productions indiennes ?
Je trouve que les S&S sont encore un peu chers, même si on en trouve à 500,00 EUR, et j’ai peur de commander des AEW sur Amazon.
Aussi j’attends que mon concessionnaire me propose quelque chose de sympa à un prix raisonnable.
En conclusion, vous l’aurez compris, malgré ses 48 petits canassons, et le fait que mon épouse squatte de plus en plus souvent la moitié de ma selle (provoquant en moi l’idée d’acheter quelque chose de plus adéquat, genre gros trail routier, pour un bonhomme de 50 et quelques années, 186 cm et 110 kg, plus son « sac à patates » derrière !), je pense que je vais encore garder ma Pupuce, en l’améliorant un peu…
En attendant que la marque nous propose une hypothétique Himalayan 850 ?
Salut les riders,
Je suis moi aussi un old timer.
Mais après un essai rapide, je reste dubitatif.
Dans les ronds-points notamment, je la trouve difficile à emmener…
Sous vireuse ? Pneus trop gonflés ?
Comparée à l’Himalayan (18 000 bornes, Bulgarie incluse…) que j’ai, ou à une MV (Ok, pas pertinent !), ou même à une routière de base, je ne retrouve pas ici la facilité espérée…
Les watts, je m’en fous ; mais à propos du comportement routier, quel est votre avis ?
Merci !
Avec un peu de recul maintenant, j’avoue partager relativement ce sentiment.
Je le remarque d’autant plus au guidon de la Continental GT de mon amoureuse, laquelle est comme vous le savez équipée de bracelets.
Indéniablement ma W650 me parait plus légère, plus vive, plus prompte à accepter un changement de direction là où l’autre réclame un effort plus marqué.
Leurs poids étant peu ou prou le même, et les dimensions des boudins similaires aussi (l’Indienne ayant même une roue un pouce plus petite à l’avant), c’est surprenant.
Est-ce qu’une autre monte pneumatique peut améliorer significativement cet aspect ?
Ou bien encore serait-ce lié à la position du centre de gravité ?
Je ne sais pas trancher ce point aujourd’hui, aussi je ne suis pas non plus contre d’autres avis à ce sujet !
;)
Salut Varuna,
Voici mon ressenti vis à vis de mon Interceptor.
Certes, au niveau du confort elle pêche un peu : fourche parfois tressautante, amortos plutôt durs.
Mais je n’ai jamais été surpris par la tenue de route.
Je ne la trouve pas sous-vireuse, et je m’amuse même à essayer de la faire légèrement dériver de l’arrière, aussi bien au freinage en entrée de virage, qu’à l’accélération sur une bande blanche ou un rebond de suspates, tant elle est facile et pas piégeuse.
Je suis encore en gommes Pirelli d’origine, avec 8 000 km au compteur.
Bien sûr le ressenti d’une machine dépend aussi de la philosophie et de l’anatomie de chacun.
En ce qui me concerne, à soixante balais, conduite cool à rapide, mais surtout 186 cm et 100 kg et quelques…
Bons rides à tous, et comme dirait l’ami Dominique Peltier (sur sa chaîne Le Nez Dans Le Moteur) :
Merci, Gilles ; bonne route à toi aussi !
✌️ ;)
Bonjour,
J’ai 67 ans, mesure 1,72 m et pèse 70 kg.
Après avoir fait mes armes sur une Flandria Bang, j’ai obtenu le permis moto en 1972.
J’ai commencé avec une BMW R50 (faute de pouvoir acheter la Honda CB 450 de mes rêves), puis une Suzuki GT 550 suite à la casse d’un piston de mon allemande (normal après 300 000 km).
Après l’armée j’ai enchaîné avec une Goldwing 1100 GL, une Kawasaki 1000 Z1R, et deux Yamaha 125 DTMX.
Maintenant je roule avec mon parc de motos de collection.
En 2019 je me décide à acheter une une Suzuki SV 650 pour suivre les jeunots du club, suite à une sortie au GP moto de Le Mans.
Et finalement je ne sors plus avec le groupe (mentalités pas compatibles), du coup la Suz’ ne servait plus beaucoup…
Je la revends donc il y a deux mois, et trouve dans la foulée (pour 6200,00 EUR) une 650 Interceptor chromée d’occasion (de 2019), avec 1500 km au compteur, et les pots Tendance Roadster (super bruit juste comme il faut).
Que dire ?
C’est une merveilleuse machine, que je n’ai même pas pris la peine d’essayer avant achat tant j’ai lu d’avis élogieux.
La consommation est de 3,6 à 3,8 L (avec ou sans passagère) en conduite normale, alors comme dit plus haut les 13,5 L du réservoir sont pour moi suffisants.
J’ai changé la selle pour une plus confortable, acheté un kit de réglage en compression des ressorts avant, remplacé l’huile par de la 15W…
La fourche est améliorée, les avant-bras bien moins secoués (test sur le même parcours bien défoncé).
J’ai aussi réalisé des supports de cale-pieds arrière pour plus de confort, et opté pour des leviers réglables.
C’est un vrai plaisir de rouler avec une bonne tenue de route et un bon freinage.
Je me balade à la cool, mais quand la route s’y prête je me surprends à « attaquer » dans les courbes tellement la machine est saine.
Je dirais qu’elle a été faite pour moi, rien à voir avec la Suzuki précédente…
Et elle est bien plus facile à manœuvrer à l’arrêt (rayon de braquage et équilibre).
Bonjour,
Après des 500 & 600 XT, 850 TDM, 1000, 1100 et 1200 GS…
Je l’ai testée, et je l’ai achetée ; la 650 Interceptor bien sûr.
Merci à Chinon Motos pour l’essai.
Je lui trouve beaucoup de qualités, mais c’est du déjà dit.
Actuellement je fais modifier la selle pour plus de confort.
Et j’aimerais également améliorer les suspensions.
Merci pour votre retour sur le sujet, et bon plaisir avec cette bécane sympa !
✌️